De l'équipement obligatoire à la composition d'une équipe en passant par la définition des pénalités et des règlements en général, il est intéressant de consulter ce document afin de comprendre la philosophie de la ligue et ce qui a amené à la suspension.
À Charny, vous pouvez le télécharger ici tandis qu'à Dekhockey de la Capitale (DDLC), vous devrez le consulter ici.
Ce qui est bien à Charny et qui manque à DDLC est la possibilité de plaider sa cause ou au capitaine d'expliquer l'événement survenu lors de la partie et qui a provoqué la suspension de son joueur.
À DDLC, c'est sans appel et l'arbitre en chef n'est pas présent au centre. De plus, les caméras ne sont pas assez nombreuses puisque, par exemple, lors de ma suspension, la ligue avouait être incapable de voir ce qui s'était réellement passé.
À DDLC, c'est sans appel et l'arbitre en chef n'est pas présent au centre. De plus, les caméras ne sont pas assez nombreuses puisque, par exemple, lors de ma suspension, la ligue avouait être incapable de voir ce qui s'était réellement passé.
Dans une ligue où les suspensions sont nombreuses, trop nombreuses à mon avis, l'arbitre en chef devrait :
- être présent au moins deux soirs par semaine et pas toujours les mêmes soirs.
- installer de nouvelles caméras ou mieux diriger les caméras actuelles afin de couvrir l'intégralité de toutes les surfaces.
- donner la possibilité au capitaine du joueur suspendu d'expliquer par écrit sa version des faits.
- sinon rencontrer ou dialoguer au téléphone avec le capitaine.
- réduire ou annuler la sentence d'un joueur dans le cas d’ambiguïté avec les événements décrits par l'arbitre dans son rapport et celle du capitaine.
Charny offre l'opportunité d'expliquer sa version des faits. DDLC refuse de le faire. Je ne sais pas pour Beauport, je n'y joue presque jamais.
L'exemple de Charny serait à prendre pour tous les centres de la province.
L'exemple de Charny serait à prendre pour tous les centres de la province.
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