samedi 28 novembre 2015

Les suspensions

Dans la plupart des centres, il y a un livre de règlements disponible à tous qui explique et essaie de prévoir tous les aléas pouvant survenir lors d'un match de dekhockey.

De l'équipement obligatoire à la composition d'une équipe en passant par la définition des pénalités et des règlements en général, il est intéressant de consulter ce document afin de comprendre la philosophie de la ligue et ce qui a amené à la suspension.

À Charny, vous pouvez le télécharger ici tandis qu'à Dekhockey de la Capitale (DDLC), vous devrez le consulter ici

Ce qui est bien à Charny et qui manque à DDLC est la possibilité de plaider sa cause ou au capitaine d'expliquer l'événement survenu lors de la partie et qui a provoqué la suspension de son joueur.

À DDLC, c'est sans appel et l'arbitre en chef n'est pas présent au centre. De plus, les caméras ne sont pas assez nombreuses puisque, par exemple, lors de ma suspension, la ligue avouait être incapable de voir ce qui s'était réellement passé. 

Dans une ligue où les suspensions sont nombreuses, trop nombreuses à mon avis, l'arbitre en chef devrait :

  1. être présent au moins deux soirs par semaine et pas toujours les mêmes soirs.
  2. installer de nouvelles caméras ou mieux diriger les caméras actuelles afin de couvrir l'intégralité de toutes les surfaces.
  3. donner la possibilité au capitaine du joueur suspendu d'expliquer par écrit sa version des faits.
  4. sinon rencontrer ou dialoguer au téléphone avec le capitaine.
  5. réduire ou annuler la sentence d'un joueur dans le cas d’ambiguïté avec les événements décrits par l'arbitre dans son rapport et celle du capitaine.
Les joueurs agressés sont suspendus au même titre que l'agresseur. Je ne connais personne qui ne va pas répliquer ou ne se défendra pas s'il est agressé ou s'il juge sa sécurité compromise, d'où la nécessité de plaider auprès de l'arbitre en chef les causes qui ont provoqué les effets.

Charny offre l'opportunité d'expliquer sa version des faits. DDLC refuse de le faire. Je ne sais pas pour Beauport, je n'y joue presque jamais.

L'exemple de Charny serait à prendre pour tous les centres de la province.

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